vendredi 7 février 2014

Figures urbaines













> D'aucuns oseraient peut-être dire qu'il y aurait comme un défaut de charme à la ville coréenne. Quelques hanoks dans le meilleur des cas, conservés pour l'Histoire et pour ces badauds du Jour de l'An qui viennent s'y repaître de jeux et de plaisirs de la bouche. Des enclaves perdues à la ville, des espaces hors du temps où se déroulent des vies parallèles, évadées des contingences. Autour, beaucoup de barres. Une faute de goût peut-être. A bien y regarder pourtant, la beauté se niche partout.

« Il n'y a rien d'inhumain dans une ville, sinon notre propre humanité », Georges Perec, Espèces d'Espaces.

Photos : Séoul, Gyeongju, Jeonju, Gongju













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